Libérer Hervé Ryssen et confrontez-le au Juifs

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Je ne défends pas la « liberté d’expression » de Hervé Ryssen, car dès que l’on invoque cette « liberté », on se retrouve piégé par l’argument suivant : « La liberté d’expression a des limites fixées par la Loi ».
Voilà pourquoi je me place sur un autre terrain : celui du devoir moral. J’affirme que Hervé Ryssen a le devoir de s’exprimer.

Pour une raison très simple :
a) Hervé Ryssen a étudié la question juive ;
b) il est parvenu à la conclusion que le judaïsme représente un danger pour les peuples, en particulier pour les peuples blancs.

Or, lorsqu’un citoyen croit avoir découvert un danger qui menace la société, il a le devoir de prévenir les autorités.

Seulement voilà : Hervé Ryssen juge que, par sa puissance, la juiverie contrôle les forces gouvernementales. D’où l’inutilité de prévenir les autorités afin qu’elle agissent contre ce danger.

Conclusion : en l’absence d’autre possibilité, Hervé Ryssen a le devoir sonner le tocsin à l’adresse du peuple.

Il ne s’agit donc pas de liberté d’expression. Lorsque nos adversaires allèguent : « La liberté d’expression est encadrée par la loi ; or Ryssen viole la loi qui punit l’appel à la haine », ils me font penser à des gens qui, voyant en enfant se noyer, diraient à celui qui veut plonger pour le sauver : « Vous n’y pensez pas ! C’est marqué : « Baignade interdite » ». Le sauveteur aurait raison de répondre : « Si j’entre dans l’eau, ce n’est pas pour me « baigner », mais pour sauver un enfant de la noyade. J’ai donc le devoir de plonger » De la même façon, nous devons répondre : « Si Ryssen dénonce la juiverie, ce n’est pas pour appeler à la haine : c’est pour sauver le peuple d’un danger de disparition. Il a donc le devoir de parler. »

On m’objectera que Hervé Ryssen diffame les Juifs. Peut-être, mais il faut le démontrer. Or, pour le démontrer, un débat libre et loyal s’impose, c’est-à-dire une confrontation au cours de laquelle chaque camp aura la liberté totale d’exposer ses arguments. J’ajoute que c’est au public de trancher.

Voilà pourquoi je l’affirme : la France doit libérer Hervé Ryssen et de le confronter publiquement à ceux qu’il accuse. Cette libération est un devoir moral, pas une affaire de « liberté d’expression ». N’allez donc pas invoquer la « loi » qui limiterait la liberté d’expression… le devoir moral se place au-dessus de la loi.