Comment argumenter efficacement sur les chambres à gaz

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Vincent Reynouard explique comment comment mener une discussion face à des non-révisionnistes. Cet exposé lui permet de contrer les sempiternels arguments opposés aux révisionnistes : « Chambre à gaz ou pas, qu’est-ce que ça change ? », « Une poignée de négationnistes ne peuvent à avoir contre tous les historiens », « Le négationnisme est un antisémitisme masqué et très dangereux »…
Vincent Reynouard repend ainsi, en les résumant pour être plus percutant, les arguments révisionnistes les plus chocs : l’origine des clichés pris par les Alliés dans les camps en 1945 ; ce qu’était la « Solution Finale » pour les dirigeants allemands, les constats matériels évidents qui contredisent la thèse officielle ; la non-valeur des photos qui montreraient l’extermination des juifs à Auschwitz…
Mais surtout, V. Reynouard explique comment, de 1945 à aujourd’hui, la croyance en l’existence des chambres à gaz a pu s’imposer sans preuves matérielles ni documentaires : tout à commencé avec les procès d’après-guerre ou rien n’a été démontré. Puis, le fait étant devenu « démontré » par décision de justice, les historiens se sont crus autorisés à écrire leurs livres sans rechercher de preuves. Depuis les années 90, il persiste à croire parce qu’il en va de la survie du Système et d’Israël.
Un exposé choc !

Plan de l’exposé

I. La question piège : « Pour vous, l’inexistence des « chambres à gaz » serait-elle une bonne ou une mauvaise nouvelle ?

II. Réponse à l’argument : « Chambres à gaz ou pas, qu’est-ce que ça change ?
• Des clichés qui montrent des déportés morts, mais pas « assassinés »
• La Shoah est indissociable des « chambres à gaz » homicides
• Si votre interlocuteur vous retourne la question…

III. Réponse à l’argument : « Une poignée de révisionnistes ne peuvent avoir raison contre tous les historiens »
• 1945 : l’existence des « chambres à gaz » est « établie » sur la base de quatre faux témoignages
• 1945-1946 : le Tribunal de Nuremberg se fonde sur la « notoriété publique »
• Depuis 1946, les historiens partent du postulat que les « chambres à gaz » ont existé
• Une « convergence des preuves » illusoire
• Un cas flagrant où les historiens croient malgré l’absence de preuves matérielles et documentaires

IV.Un mensonge grossier, car issu de la propagande soviétique

Conclusion : les Juifs et les antirévisionnistes doivent répondre adéquatement

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