Reynouard interpelle le Président de la LICRA (ép. 7 et dernier)

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Aujourd’hui : La LICRA fait régner la dictature pour tenter de sauver une cause perdue

Dans ce septième et dernier volet de mon message au Président de la LICRA, j’explique les raisons profondes pour lesquelles, face au révisionnisme, la LICRA orchestre un terrorisme intellectuel.
Non seulement le dossier des « chambres à gaz » est vide, mais aussi, le peuple juif (pris en tant qu’entité collective) a tant tiré parti de l’ « Holocauste » qu’il ne peut plus reculer : la croyance doit être maintenue coûte que coûte, faute de quoi nombreux sont ceux qui demanderont des comptes. Mais ce combat pour le maintien du mythe est perdu d’avance, car la vérité finit toujours par triompher…

Plan de l’exposé :

I. Où étaient passés les Juifs disparus en 1945 ? (La relocalisation des Juifs à l’Est)
II. Auschwitz : le cœur de la question, à examiner en priorité
III. Une thèse officielle intenable

  1. 30 août 1943 : les dirigeants alliés refusent de mentionner les « chambres à gaz »
  2. L’explication inepte des historiens
  3. Après la guerre, le vainqueur aurait dû produire les clichés d’Auschwitz et les plans des crématoires
  4. En guise de « preuve », ils produisent les « aveux » du premier commandant d’Auschwitz
  5. Des « aveux » qui permettent de se passer de tout preuve matérielle et documentaire
  6. L’art de transformer un vague indice en « preuve définitive »
  7. La répression antirévisionniste démontre la pertinence des thèses révisionnistes

IV. Le combat de la LICRA est perdu d’avance
V. Pourquoi je suis sans haine

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