Le 26 septembre 1945, la presse rapporta qu’au procès de Belsen, le Tribunal avait entendu « la tragique déposition d’un témoin échappée des chambres à gaz ».
Sofia Litwinska avait raconté:
Je vis de la fumée s’échapper d’une petite ouverture faite au plafond, puis je senti l’asphyxie me gagner. Là, mes souvenirs sont confus. Je me rappelle cependant avoir entendu mon nom, puis j’ai senti qu’on me prenait le bras et qu’on me jetait dehors.
Le monde disposait donc d’une preuve vivante de l’existence des chambres à gaz.
Quatre décennies plus tard pourtant, son nom avait disparu des ouvrages consacrés au sujet.
Il en va de même d’une autre rescapée des chambres à gaz : Regina Bialek dont le récit fut lu à ce même procès.
Pourquoi ces témoignages sont-ils désormais occultés? Réponse dans cette vidéo.