Les « témoins » des « chambres à gaz » : un fiasco général
« Mais que faites-vous de tous les témoins ? », c’est l’objection habituelle lancée aux révisionnistes. Dans ce sixième épisode, Vincent Reynouard explique pourquoi elle est sans valeur. A l’aide d’arguments historiques et de considérations matérielles, il démontre que les trois premiers témoins « fondateurs » du mythe des « chambres à gaz » sont de faux témoins : la juive Ada Bimko qui prétendait qu’un SS d’Auschwitz lui avait fait visiter une « chambre à gaz » homicide ; la juive Sophia Litwinska et Regina Bialek qui prétendaient avoir survécu à un gazage homicide. Puis Reynouard explique pourquoi, après la guerre, ces faux témoins vengeurs étaient légions.
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