De 1940 à 1944, j’aurais “collaboré” à 200 % !

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Chères Amies, Chers Amis,

Débordé de travail, je suis une nouvelle fois en retard sur le programme prévu. Aussi le quatrième épisode de ma série « Face au Grand Remplacement, pour un vrai réveil de l’Occident » sera-t-il mis en ligne demain.

Hier, dans ma réponse aux roquets du site « Balance ton antisémite », j’ai écrit : « Ah ! la Collaboration… que de bons souvenirs. » Ce n’était pas une provocation. De 1940 à 1944, j’aurais « collaboré » à 200 %, demandant le renversement des alliances, la déclaration de guerre à l’Angleterre de Churchill et un engagement total de la France, avec son empire, aux côtés du IIIe Reich. Nous étions à un carrefour de l’Histoire et il n’y avait pas à hésiter : collaboration à 200 % dans une unité de destin européen !

On me répondra que les Allemands pillaient la France. Sans doute lui faisait-ils porter le poids d’une occupation suite à une défaite subie au terme d’une guerre follement (et illégalement) déclarée. Mais il ne faut pas oublier l’impitoyable blocus britannique. J’ajoute que malgré cela, malgré tout cela, la France vivait. Que dis-je, elle travaillait et innovait. Le 31 décembre 1941, « Paris-Soir » publia le bilan des grands travaux réalisés pendant l’année (voir l’article reproduit en illustration). Nous sommes loin, très loin, de l’image du pays moribond, pillé par le vainqueur…

Avec la victoire de l’Allemagne nationale-socialiste, tout était possible. L’occasion a été perdue. Dommage. Mais gardons confiance, elle se présentera à nouveau, sous une autre forme. Cette fois, il faudra être au rendez-vous.

Je vous souhaite à Toutes et à Tous une agréable journée.