Dans la deuxième partie de ce sixième épisode, Vincent Reynouard démonte d’autres récits fantaisistes : le faussaire Henryk Tauber (redécouvert en 1989 par Pressac), le menteur impudent Isaak Ochhorn (très vite jeté aux oubliettes), le SS mythomane Kurt Gerstein (dont, en 1979, 34 historiens qualifiaient le récit « indiscutable sur l’essentiel), le faussaire notoire Miklos Nyiszli (qui voyait une « chambre à gaz » longue de… 200 mètres), les imposteurs Henry Bily et Shlomo Venezia (qui s’étaient inspirés de « témoignages » déjà publiés), le témoin sans valeur Fanzylberg (qui n’a rien vu car, lors des « gazages » prétendus, il aurait été enfermé dans une pièce), le menteur prudent Herman Idelovici (qui ne voulait pas écrire un livre par peur de la critique révisionniste) et Henryk Mandelbaum (pris en flagrant délit d’erreur sur le Zyklon B et sur les crémations). Loin de se contenter de démasquer, Vincent Reynouard explique pourquoi certains de ces imposteurs ont menti : beaucoup ont repris à leur compte les rumeurs qui circulaient dans les camps et qui reposaient sur une confusion entre les douches « réelles » et les prétendues douches d’où serait sorti du gaz ; d’autres ont été téléguidés par les Soviétiques ; certains ont menti par mythomanie…
Un exposé passionnant.
Plan de l’exposé
Quatrième faux témoin notoire : Henryk Tauber
Un faux témoin vite jeté aux oubliettes : Isaak Egon Ochshorn
Un mythomane : le SS Kurt Gerstein
Des « erreurs » mineures ? Le cas de Miklos Nyiszli
Des imposteurs qui s’inspirent de « témoignages » déjà publiés
Un témoin sans valeur : Alter Fanzylberg
Un faux témoin prudent : Herman Idelovici
Un faux témoin moderne : Henryk Mandelbaum
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