Le procès truqué de 1953 contre les « bourreaux d’Oradour »
Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d’Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l’église.
Cette tragédie s’est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.
Sans nier ni les morts, ni l’horreur, ni la douleur des familles, l’histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s’est-il passé dans l’église vers 16 heures ert qui a tout déclenché ?
Dans cette série en cinq épisodes, Vincent Reynouard apporte une réponse à ces questions.
III. [suite] La Justice entame puis esquive le débat historique
– Une explosion que l’on ne peut imputer aux Waffen SS
– Une « caisse » retrouvée par les sauveteurs dans l’église mais qui disparaît mystérieusement
IV. 1953 : la France organise un procès truqué contre les « bourreaux d’Oradour »
Des prévenus qui « avouent » ce qu’on attend d’eux
– Des accusés réduits à « avouer » pour protéger les leurs et dans l’espoir d’un traitement de faveur
– Refus d’établir la matérialité des faits : un procès truqué
– Des aveux qui ne peuvent servir à bâtir une histoire vraie
