… et ce que disent les gardiens de la Mémoire
J’ignorais que mon message de vendredi susciterait un tel intérêt. Les questions posées démontrent que beaucoup ignorent la teneur de mes travaux sur Oradour.
Mes travaux
Voici donc quelques liens utiles pour des documents en accès libre et gratuit:
- une brochure de 64 pages abondamment illustrée qui résume très succinctement mes arguments;
- un documentaire que j’ai publié en juin 2024 pour le 80e anniversaire de la tragédie: « Oradour: 52 minutes pour l’honneur des victimes« ;
- une conférence que j’ai donnée voilà quelques mois en Savoie et qui raconte mon enquête sur l’affaire d’Oradour;
J’ajoute que mon dernier livre Oradour-sur-Glane: le cri des victimes, paru en 2022, est disponible auprès de la librairie Arts Enracinés.
Les travaux de mes adversaires
Par souci d’équité, voici trois liens pour savoir ce qui se dit en face :
- site de l’Association nationale des Familles des Martyrs d’Oradour-sur-Glane;
- « 10 juin 1944 : Oradour-sur-Glane, symbole de la barbarie nazie« : un documentaire paru en 2024 et réalisé sur la demande de la Direction de la Mémoire, de la Culture et des Archives du ministère des Armées;
- le dernier livre en date qui défend la thèse officielle et qui avance des arguments pour réfuter mes conclusions.
Je propose, j’expose, je n’impose pas
Muni de ces liens, chacun peut écouter les deux parties et se forger une opinion personnelle. En effet, ce qui guide ma vie reste le slogan inscrit au début de la plupart de mes vidéos : « Je propose, j’expose, je n’impose pas ».
Chacun est libre, y compris de ne pas me saluer, de me qualifier de « plagiaire », de « cancre », de « négateur de l’histoire », de personnage « absolument repoussant » (voir sous ma dernière intervention).
Pour ma part, je n’ai jamais attaqué mes adversaires ni sur leur physique, ni sur leurs opinions politiques, ni sur leurs convictions religieuses, ni sur leur vie. Je les ai toujours salués poliment quand il m’a été donné de les rencontrer.
Et même si la loi me le permettait, jamais je ne réclamerai contre eux des amendes ni de la prison. Je m’en tiens à ce qu’ils racontent sur le sujet abordé et je le confronte aux documents ainsi qu’aux constats matériels. D’Oradour à Auschwitz, c’est ainsi que je procède.
Voici d’ailleurs, toujours en accès libre et gratuit, mon livre de synthèse sur la Shoah.
Plus généralement, l’ensemble de mes travaux est disponible depuis la Boutique Sans Concession, et je publie régulièrement des articles sur mon blogue, le Blogue Sans Concession. Pour accéder à ce dernier site depuis la France, le service gratuit 1.1.1.1 ou un VPN est nécessaire, les autorités du pays ayant exigé sont blocage.