Dans ce premier épisode, Vincent Reynouard explique que depuis 1946, avec les “aveux” du commandant d’Auschwitz, les historiens de “l’Holocauste” partent du présupposé que les “chambres à gaz” homicides allemandes ont existé. Par conséquent, ils croient découvrir des “preuves” partout, y compris dans les faits les plus insignifiants. Voilà pourquoi tous leurs ouvrages vont dans le même sens, donnant l’impression que l’existence de ces “chambres à gaz” est une évidence, donc que les “négationnistes” sont une poignée de fous… Mais en vérité, les historiens de “l’Holocauste” adoptent la même méthode que ceux qui, au Moyen-Age, prétendaient débusquer des sorcières. Leurs conclusions n’ont donc pas plus de valeur que celles des procès en sorcellerie.
Plan de l’exposé
- 15 avril 1946 : les « aveux » publics de l’ancien commandant d’Auschwitz à Nuremberg
- 1946 : le monde est convaincu par les « aveux » du premier commandant d’Auschwitz
- Les historiens étudient l’ « Holocauste » en partant du présupposé que les « chambres à gaz » homicides ont existé
- Croyant, au départ, en l’existence des « chambres à gaz », les historiens croient découvrir des preuves partout
- Les mêmes méthodes qu’au temps de la « chasse aux sorcières »
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