Hier, ma vidéo a été dénoncée (puis retirée) de Youtube. Le soir, une femme m’a téléphoné. Elle se présenta comme une «journaliste roumaine» qui souhaitait un entretien pour parler de «mon travail». J’acceptai et lui demandai pour qui elle travaillait. «Un journal» dit-elle, sans préciser. Après avoir dit qu’elle devrait bientôt partir, elle ajouta: «Je voudrais savoir si vous avez toujours des problèmes avec la communauté juive». Je répondis que les autorités (françaises) voulaient me faire extrader.
La Femme – Votre travail est-il antijuif?
Moi – Non, toutefois il déplaît aux Juifs.
– Pourquoi ?
– Parce qu’il remet en cause certains aspects de l’histoire de la seconde guerre mondiale.
– Vous contestez la réalité Shoah ?
– Je conteste l’existence d’une extermination systématique qui aurait été ordonnée en haut lieu, à Berlin. J’affirme que les chambres à gaz (homicides) n’ont pas existé.
– Mais les chambres à gaz, on en voit.
– Non, vous voyez des pièces qu’on vous présente comme telles, mais ce n’était pas des «chambres à gaz».
– C’était des fours ?
– Non, les fours crématoires ont existé. Les pièces qu’on vous présente étaient des morgues, comme à Auschwitz.
– Elles étaient grandes?
– A Birkenau, oui, 210 m².
– On pouvait y mettre combien de gens?
– Si vous comptez cinq personnes par mètre carré, cela fait environ mille personnes.
– C’était beaucoup.
– Oui, naturellement.
– Mais le Zyklon B, ça tue.
– Bien évidemment, mais ce n’est pas tuer qui est impossible. C’est tuer comme le décrit la version officielle: c’est-à-dire aussi rapidement (avec si peu de produit). Puis il aurait fallu ventiler la pièce. On pourra en reparler lors de notre entretien.
– Oui, car je dois partir. Je vous rappellerai sans faute la semaine prochaine.
Un bruit de sonnerie retentit alors: « Oh ! voilà, on me téléphone. Au revoir Monsieur ».
Rapidement, j’ai flairé un piège. A mon avis, cette femme avait été envoyée pour me faire dire que mon travail était intrinsèquement «antijuif», donc que j’agissais par antijudaïsme. Cela aurait permis de réfuter toutes mes vidéos, dont celle sur l’affaire Fristot.
Si, malgré cela, j’ai répondu aux questions, c’est parce que je n’ai rien à cacher. Chez moi, il n’y a pas deux discours. Je dis tout ce que je pense, y compris sur les Juifs.
Je le répète: à mes yeux, la Providence utilise ce peuple –qui se croit élu de Dieu– comme révélateur de nos propres faiblesses. Depuis que l’Europe a oublié le spirituel pour adopter une organisation bourgeoise, matérialiste, mercantile et jouisseuse, les Juifs ont gagné une puissance jamais vue. Parce qu’ils se développent naturellement sur ce genre de corps malsain. Pour résoudre le problème, il faut recouvrer la santé, c’est-à-dire le sens réel de l’existence, ce qui implique de redécouvrir la transcendance. Le travail porte donc d’abord sur nous-mêmes.
Cet appel téléphonique s’inscrit sans doute dans une action qui se prépare contre moi. Peu m’importe…