Voici la deuxième (et dernière) partie de cet exposé.
Ma conclusion est simple:
C’est avec une parodie de procès qu’en 1945-1946, l’histoire des camps et, plus généralement, du national-socialisme fut écrite. Les démocraties et les sionistes furent les principaux bénéficiaires de la manœuvre.
En 1948, la naissance de l’État d’Israël fut proclamée, car pouvait-on refuser d’accorder un refuge à un peuple victime du plus grand crime de tous les temps?
Ailleurs, et plus particulièrement en Europe, au nom du « plus jamais ça », la démocratie libérale est devenue obligatoire. Une démocratie « antiraciste » car le racisme, « on sait où ça a mené ».
Mais on ne construit rien de viable sur l’injustice et le mensonge. La politique menée en Israël le démontre avec éclat. Quant à l’Europe, l’antiracisme obligatoire la livre à la submersion migratoire.
Les gardiens de la Mémoire le savent: l’Histoire est l’expression d’un pouvoir. Être maître du récit historique permet de dominer politiquement en inculquant une mémoire adéquate. Voilà pourquoi la jeunesse est embrigadée.
Dès lors, une seule solution: commencer par se débarrasser de l’histoire mensongère écrite par les vainqueurs de 1945. C’est à cette condition, et à cette condition seulement, qu’une véritable révolution nationale sera possible.
Au sommaire de cette vidéo:
- Quand la Défense réduite à l’impuissance cautionnait malgré la propagande des vainqueurs
- Situation dans les camps: un procès inéquitable qui permettra d’écrire une histoire falsifiée
- Des pièces à décharges écartées sans être produites
- Un registre médical d’Auschwitz laissé sous clé pendant 70 ans
- Deux documents capitaux dissimulés par l’Accusation
- La Défense ne peut relever les contradictions de l’Accusation »
- Documents rejetés par le Tribunal: la Défense paralysée
- Nuremberg: une parodie de justice que le monde paie aujourd’hui









