Profitant du début des vacances scolaires, j’ai passé mon samedi et on dimanche à travailler sur ma future vidéo consacrée à l’immigration. Comme c’est souvent le cas, en prononçant mon exposé, je me suis aperçu que certaines parties devaient être améliorées, approfondies, étayées davantage. J’ai donc repris le texte à l’aide des ouvrages que, depuis 30 ans, j’annote patiemment. Il en résulte ce nouveau plan présenté ci-dessous. Mon objectif n’est ni d’appeler à la haine, ni de fustiger les envahisseurs, les adversaires et les gens en désaccord avec moi. D’autres s’en chargent et jouent leur rôle avec un talent indéniable.Ils sont comme ceux qui, pour protéger le junkie, partent en guerre contre les producteurs de drogue, les trafiquants et leurs complices en organisant la répression. Ils ont raison. Mais leur lutte reste un sauvetage d’urgence. Dans son ouvrage sur la drogue, Tony Anatrella soulignait : « le problème principal de la toxicomanie ne réside pas dans la drogue elle-même, mais dans ce qui conduit un individu à se droguer. » C’est indéniable. Au départ, un drogué est une personne à problème. La prise de stupéfiant n’est qu’une conséquence De la même façon, une société en déclin est, au départ, une société malade. L’invasion étrangère, la puissance des lobbies et la manipulation du peuple ne sont que des conséquences de cette maladie. C’est ce mal initial que je souhaite identifier puis combattre pour en guérir la société. Seulement, on ne guérit pas un malade sans son consentement. D’où ma devise : « Je propose, j’expose, je n’impose point. » Face au danger que court notre pays, je propose un remède et tente de convaincre les gens de l’adopter en expliquant ce qui, pour moi, démontre son efficacité. Je pense qu’à la base, nos sociétés sont malades d’avoir perdu le lien solide la spiritualité. Dans les faits, elles sont matérialistes. Tout le reste en découle, à commencer par l’hédonisme et l’égoïsme qui provoquent la dénatalité, elle-même cause de l’invasion étrangère. Dans cette vidéo, j’expliquerai cet engrenage mortifère et je tenterai de démontrer qu’au portrait matérialiste de l’Homme (un simple néant perdu dans l’infini de l’espace et du temps), un portrait qui fait de la vie une absurdité dénuée de sens profond, il faut opposer une vision spiritualiste, une vision non seulement vraie, mais aussi salvatrice pour la société. Mon exposé devant durer plus d’une heure trente, il paraîtra en fin de semaine.
