Suite à une nouvelle plainte portée contre lui par la LICRA, Vincent Reynouard interpelle son Président, Mario Stasi. C’est l’occasion, pour lui, de synthétiser l’argumentaire révisionniste afin d’en montrer la pertinence.
Dans ce deuxième volet, Reynouard explique comment, fin 1978, le professeur Faurisson sema la panique chez les tenants de la thèses officielle en portant le débat sur le terrain technique. Reynouard explique en quoi leurs premières tentatives d’objection renforcèrent paradoxalement la position révisionniste. Finalement incapables de répondre, les gardiens de la Mémoire n’eurent pas le choix : il refusèrent la discussion et manoeuvrèrent pour que la société se dote d’un dogme nouveau : celui de l’existence des « chambres à gaz nazies »… Avec l’affaire du « détail de l’histoire », Jean-Marie Le Pen en fut la première victime.
Dans le troisième volet, Reynouard répondra aux accusations de mensonges et d’incompétence formulées par les anti-révisionnistes…
Plan de ce deuxième volet
Les gazages massifs de Juifs auraient-ils été possibles techniquement ?
– Une question délaissées par les historiens
– Une impossibilité technique relevée en 1978 par le professeur Faurisson
– « Chambres à gaz » homicides : le dossier technique était vide
– 1979 : l’aveu des historiens qui refusent toute discussion technique
– 1990 : l’existence des « chambres à gaz » homicides devient une vérité révélée, protégée par la loi
À suivre : Le révisionnistes sont-ils de vulgaires faussaires ?
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