Oradour: un pompier confirme les conclusions de Vincent Reynouard

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Nous avons reçu ce matin le texte suivant, envoyé par un lecteur.

Travaillant dans une institution hospitalière, le 17 mai 2021, j’ai suivi une formation incendie.
Pendant une heure et demi, dans un exposé théorique et pratique, un pompier professionnel nous a expliqué les dangers du feu ainsi que les réflexes indispensables à avoir.

Connaissant votre thèse sur Oradour, j’ai eu l’idée d’en profiter. Alors que la formation s’achevait, j’ai pris mon téléphone et je me suis connecté à Internet pour trouver deux photos du drame d’Oradour.

Avant de regagner mon service, je me suis approché du pompier. Bien que disposant de peu de temps (des collègues arrivaient pour une autre formation), je lui ai soumis la photo qui montrait une enfilade de cadavres [photo ci-dessous]. Sans lui en révéler la provenance du cliché, je lui ai demandé : « Pour vous, cette photo évoque-t-elle des corps calcinés? »

Il m’a répondu : « Ils présentent des brûlures, oui, mais de là à dire qu’ils sont calcinés, pas du tout. On dirait plutôt que ces gens ont subi une ou plusieurs explosions. » Il a ajouté : « Regarde au premier plan, la jambe de la personne a été complètement arrachée. Cela arrive lorsque les corps brûlés sont extirpés ; l’articulation s’arrache mais les os restent entiers, pas « éclatés » ». Il était vraiment perplexes lorsque je parlais de corps calcinés…

Je lui ai alors montré la deuxième photo, celle du confessionnal [photo ci-dessous], en lui précisant que cet objet en bois avait apparemment a subi le même sort que les gens de la première photo.

Il m’a dit: « Un objet en bois de ce genre… si le bâtiment a brûlé, lui aussi aurait du brûler. »
– « À cause de quoi ? » lui ai-je demandé.
– « L’effet de propagation du rayonnement thermique », m’a-t-il répondu.
Faute de temps, je n’ai pu recueillir d’autres information.

Certes mon exposé est un peu court, mais j’atteste sur l’honneur sa véracité, notamment les propos tenus par le pompier.

Je vous en souhaite bonne réception.

Amicalement,

Sylvain

Vincent Reynouard n’est pas surpris de la teneur de ce compte-rendu qui confirme mes conclusions. Lors de son procès à Limoges en 2003, les gardiens de la Mémoire auraient dû citer comme témoins :

  • un ancien Waffen SS qui aurait dit que le récit officiel était vrai, donc que lui et ses camarades avaient bien massacré les femmes et les enfants dans l’église (G. Boos et A. Daul, par exemple, vivaient encore) ;
  • un pompier ou un expert qui aurait démontré que l’église avait bel et bien été détruite par un incendie.

Ils s’en sont bien gardés, ce qu’il sa toujours considéré comme un aveu.