Ci-dessus une photo prise ce matin. Chaque jour, de préférence à l’aube, je parcours 20 km à vélo. Je vis désormais en pleine campagne, quelque part sur la côte Est de l’Angleterre.
Pour l’heure, je monte le seizième épisode de ma série « Réviser l’Histoire pour rebâtir l’Europe ». Je pensais qu’elle comprendrait dix-neuf épisodes; elle en comptera une trentaine.
Une fois les documents réunis et le plan dressé (ce qui prend déjà du temps), chaque épisode nécessite entre quinze et vingt heures de travail (enregistrement, montage du son, montage de l’image, inclusion des références, musique). Sachant que j’en publie un tous les deux ou trois jours, on en déduira aisément le nombre d’heures que je passe quotidiennement devant mon ordinateur.
Ma vie se résume désormais à cela: création de vidéos, vélo, lecture et méditation. Une vie très simple, dans une petite chambre, avec la même nourriture chaque jour (légumes frais et Weetabix) financée entièrement par vos dons. Je remercie donc de tout cœur celles et ceux qui me soutiennent. Sans eux, j’aurais déjà dû me rendre aux autorités.
Certains me plaindront d’avoir une vie réduite à cela. Qu’ils se rassurent: je ne suis pas privé du monde. Parce que je le rejette? Non, je ne rejette pas le monde moderne. Si je ne regarde pas la télévision, si je me désintéresse des films et des divertissements offerts par le Système, si je ne fréquente ni les cafés, ni les pubs, ni les restaurants et si je ne consomme pas (qu’il s’agisse de nanotechnologies, de vêtements ou de gadgets divers), ce n’est pas parce que je me l’interdis. Je ne m’interdis rien. Si j’aimais le cinéma (comme je l’ai aimé naguère), j’irais. Si j’aimais faire la fête, je la ferais. Si j’aimais varier ma nourriture, je la diversifierais. Voilà pourquoi je ne critique pas ceux qui, même dans nos milieux, profitent du monde. C’est leur chemin de vie.
Pour ma part, toutefois, j’ai des aspirations plus hautes. En tant que nationale-socialiste, je souhaite servir la communauté. Je le fais en rétablissant des vérités historiques qui pourront être utiles pour l’avenir. De plus, je souhaite répondre aux questions existentielles sur le sens de la vie. D’où mes lectures et la méditation.
Ces aspirations me détournent tout naturellement des plaisirs matériels et des divertissements. Voilà pourquoi je ne m’interdis rien (ce qui serait une démarche négative à mes yeux). Je suis attiré par autre chose, c’est tout (ce qui reste une démarche positive).
Mes projets ? D’abord finir ma série de vidéos en cours. Puis la publier sous forme d’un coffret et d’un livre illustré. Ainsi aurai-je synthétisé trente années de recherches révisionnistes. Cela me prendra plusieurs mois. Après? Je l’ignore, mon incertitude étant renforcée par les crises que traversent nos sociétés. Mais je fais confiance à la Providence, donc je dors tranquille.
