Le 16 mars à 18h30, Vincent Reynouard était l’invité de Géopolitique Profonde, aux côtés d’Alain Soral et Alexandre Juving-Brunet, pour discuter de la liberté d’expression, la dissidence française et le sauvetage de la France.
Présentation de l’épisode par Géopolitique Profonde
La liberté d’expression est décrite comme un pilier démocratique, mais elle connaît des limites légales et morales dans de nombreux pays, y compris en France.
Les cas d’Alain Soral, Alexandre Juving-Brunet, et Vincent Reynouard illustrent ces limites, où leurs déclarations et actions ont soulevé des questions sur la frontière entre la libre expression et les discours condamnés par la loi. Ce sujet complexe mérite une analyse nuancée, reconnaissant l’importance de protéger les libertés alors que les lois ne cessent de se durcir.
Le débat sur la souveraineté de la France et son indépendance par rapport à des influences extérieures est au cœur de nombreuses discussions politiques et sociétales.
Les idées autour de la nécessité de « sauver la France » et de la rendre « à nouveau souveraine et fille aînée de l’église » touchent à des thématiques profondes d’identité nationale, de gouvernance et de la place de la religion dans la société.
Ces discussions invitent à réfléchir sur les solutions à mettre en place concrètement pour organiser une véritable résistance contre le pouvoir oligarchique.
Mettre l’ego de côté, penser collectif, unir les ressources et se diriger vers un objectif précis autour de valeurs communes sont des conditions nécessaires pour éviter une résistance atomisée, inefficace.
(source: https://geopolitique-profonde.com/articles/revolution-francaise-soral-juving-brunet-reynouard-gptv)
Note de Vincent Reynouard
Cette émission a suscité des réactions très diverses.
Beaucoup accusent Mike Borowski d’être un juif serviteur du sionisme. Plusieurs personnes m’ont mis en garde, dont un certain « Bea Chelles » auteur d’une étude en trois parties consacrée « Géopolitique profonde ».
Pour ma part, je m’en moque: je m’exprime où l’on m’invite, du moment que l’on me laisse parler et que l’on ne tronque pas mes propos pour les trahir.
S’exprimer sur l’invitation de certains et aux côtés d’autres intervenants ne signifie pas que l’on approuverait leurs actes ni leurs opinions. C’est le B A BA de la liberté de s’exprimer.
Si l’on commence à intimider les gens au motif qu’ils ont été invités par untel ou untel et qu’ils ont parlé aux côtés de untel ou untel, alors c’est la fin de la liberté…
Personnellement, je ne crois pas en la liberté d’expression (en revanche, je crois au devoir de dire ce que l’on croit être la vérité), mais je refuse ce genre d’intimidation. Du moment que l’on se cantonne à dire ce que l’on croit être vrai, sans cautionner ni les opinions ni les actes des organisateurs et des autres participants, alors il n’y a pas de problème. Cela m’apparaît évident, mais visiblement, cela ne l’est pas pour tout le monde.
C’est d’autant plus surprenant dans des milieux qui dénoncent le « cancel culture » et le « wokisme », deux courants qui pratiquent ce genre d’intimidation. Il n’est ni juste ni bon d’employer les méthodes de nos adversaires, car peut-on alors prétendre être meilleurs qu’eux?