Voilà 74 ans jour pour jour, le 28 juin 1944, le secrétaire d’État à l’Information et à la Propagande, Philippe Henriot, tombait sous les balles d’assassins à la solde des Alliés. Son « crime » ? Avoir énoncé, sans haine, des vérités dérangeantes, notamment à propos des bombardements alliés meurtriers. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard rappelle deux éditoriaux très importants de Philippe Henriot les 22 avril et 29 mai 1944, à propos des raids alliés : la façon dont il réfuta l’argumentation communiste qui prétendait imputer les morts aux… Allemands. Puis V. Reynouard démontre que, 74 ans plus tard, bien qu’ils ne recourent plus au meurtre, nos adversaires observent les mêmes méthodes : outre l’injure, ils font brutalement taire les voix qui dérangent, hier par le meurtre, aujourd’hui par la censure… Pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui comme hier, leur cause est indéfendable.
Assassins d’Henriot, censeurs antirévisionnistes : même combat, mêmes méthodes
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