Je ne me découragerai jamais. Le mouvement anti-pass sanitaire s’essouffle… Et alors? Le combat en devient-t-il moins légitime pour autant?
Depuis 20 ans, le révisionnisme est interdit par la loi, chassé des grands médias, rejeté aux marges… Et alors? La vérité historique a-t-elle changé pour autant? Ne mériterait-elle plus que l’on se batte pour elle?
Je ne me découragerai jamais. Parce que je ne subordonne pas mon combat à l’espoir d’une victoire collective. En effet, luttant pour le Vrai, le Beau, le Noble:
- la lutte en elle-même (quelle que soit son issue), me permet de me bonifier.
- je sers une cause qui me dépasse, une causse universelle. Servir signifie se donner tout entier, jusqu’au bout, sans se soucier ni de la victoire espérée, ni de la défaite possible. Car victoire ou défaite, ma récompense sera la même à l’heure de ma mort.
Voilà pourquoi aujourd’hui plus que jamais, le découragement m’est inconnu. Certes, à vue humaine, je suis très pessimiste. Mais cela ne change strictement rien. Déjà parce que ma vue humaine est celle d’une taupe: que puis-je savoir du futur. Ensuite parce que même si un messager du futur venait me prévenir de l’échec du combat, je dirais: «Et alors? J’aurai accompli mon devoir. Si, collectivement, il aura échoué, au niveau personnel, j’en aurai retiré un bienfait immense.»
Ne jamais s’inquiéter du succès collectif. Toujours rester dans la voie droite que la Providence nous trace. Quel sentiment de légèreté!