M. Reynouard a récemment reçu une carte à la mémoire du célèbre soldat japonais Hirô Onoda.
À l’intérieur de la carte, voici le texte que l’on peu lire:
Carte commémorative émise à l’occasion du premier anniversaire de la mort, le 16 janvier 2014 (Heisei 25), de Hirô Onoda, à Tôkyô, qui fut Sous-Lieutenant dans l’Armée Impériale du Japon, 14e armée, Général Yamashita Tomoyuki commandant.
Envoyé sur l’ile de Lubang, Philippines, en décembre 1944 (Shôwa 18), il demeura à son poste vingt-huit années.
Il remit, le 11 mars 1974 (Shôwa 48), son Sabre d’Officier au Président Ferdinand E. Marcos. Celui-ci le lui rendit aussitôt en signe de pardon de la Nation, et parce que « j’ai lutté contre les Japonais pendant quatre ans. C’étaient des ennemis courageux et bien entraînés. Et vous, Lieutenant Onoda, vous symbolises le Soldat japonais qui se battit vaillamment pour son Empereur et sa Patrie ».
Voici le commentaire que M. Reynouard a joint à cette carte.
J’apprécie non seulement la fidélité du soldat japonais, mais aussi son acte final et la réaction du président philippin Marcos. Cette réaction est confirme à l’adage grec: « Faites que le vaincus se félicite de vous avoir pour vainqueur. »
Telle est ma philosophie dans ma vie de révisionniste. Si je lutte pour la vérité en Histoire et pour le triomphe du national-socialisme en politique, je n’appelle jamais à la vengeance.
En cas de victoire, je souhaiterais que nous n’organisions aucune « épuration », afin due les vaincus se félicitent de nous avoir pour vainqueurs.
Cette adage de la Grèce antique s’accorde avec un des principes fondateurs de la non-violence: « On a vraiment vaincu un ennemi quand on s’en est fait un ami. »
Nous recommandons la lecture des mémoires du soldat Onoda, Au nom du Japon, qui se lisent comme un roman d’aventures.