Je reproduis ci-dessous une publication apparue sur X voici quelques jours. Mon nom est cité par un ou plusieurs étudiants en médecine comme source de leurs connaissances sur les infections urinaires.

Il s’agit bien évidemment d’une plaisanterie, car je n’ai jamais rien écrit sur le sujet. Je n’accorde pas à cette affaire plus d’importance qu’elle n’en mérite.
Toutefois, l’apparition de mon nom démontre que depuis mon extradition d’Écosse et mon retour forcé en France, ma notoriété au sein de la « dissidence » a considérablement augmenté.
J’en suis satisfait, non pas par vanité personnelle (de 1990 à 2010, j’ai travaillé vingt ans sans être connu que d’une poignée de sympathisants révisionnistes), mais parce qu’à travers moi, c’est le révisionnisme qui se répand.
Si mes adversaires m’avaient laissé tranquille dans mon refuge écossais, aujourd’hui encore, je serais quasiment inconnu. Ma meilleure publicité, c’est la répression qui me frappe.
Ma meilleure publicité, c’est la répression qui me frappe.
En 2015, condamné à deux ans de prison ferme, j’ai fui en Angleterre parce que j’avais encore deux projets: écrire un livre actualisé sur le drame d’Oradour et un autre, de synthèse, sur la Shoah.
Ces deux projets ont été réalisés, le deuxième grâce à mes adversaires qui me poursuivent, puisqu’il s’agissait, au départ, d’un mémoire en défense destiné au tribunal.
Voilà pourquoi désormais, je reste en France, alors que depuis 2024, j’aurais pu fuir (mes adversaires pensaient, d’ailleurs, que je fuirais).
Je reste pour subir la répression qui contribue à la crédibilisation et à la diffusion de mon travail. Déjà, quatre procès m’attendent.
Le 9 décembre en outre, je répondrai à une convocation policière qui fait suite à une nouvelle plainte déposée contre moi par l’Observatoire juif de France. Elle conduira, n’en doutons pas, à un cinquième procès.
J’ai consacré ma vie au révisionnisme. À 56 ans, ayant dit ce que j’avais à dire, je n’ai plus ni famille, ni situation, ni même logement. S’il fallait mourir demain, je l’accepterais de bonne grâce.
È sempre svantaggioso combattere contro chi non ha nulla da perdere.
Francesco Guicciardini
Bref, je n’ai plus rien à perdre. Or, comme le soulignait François Guichardin: « Il est toujours désavantageux de lutter contre celui qui n’a rien à perdre. » Mes adversaires semblent l’ignorer.
Dans leur aveuglement, ils s’acharnent encore, contribuant à augmenter ma notoriété. D’où mon absence de haine à leur encontre: sachant prendre de la hauteur, je sais qu’au regard de la Totalité, ils œuvrent pour des vérités qu’ils refusent d’admettre et qu’ils croient combattre.
Bien qu’ils l’ignorent, ce sont donc des alliés. Dès lors, pourquoi perdrais-je mon temps et mon énergie à les poursuivre d’une colère inutile? Tant que je serai vivant et en liberté, je préférerai travailler à des choses utiles.
Dans quelques jours, je commencerai la publication d’un exposé intitulé: « Pétain, la Collaboration et la Question juive ». J’en ai entrepris la rédaction suite au scandale médiatique provoqué par la messe dite en hommage au Maréchal.
Merci à celles et à ceux qui m’accompagnent dans mon aventure.









